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Émue par la lecture d'Alexis, roman publié en 1929 par
Marguerite Yourcenar, Marie Taéroff, âgée de 21 ans, écrit
à l'auteure. Sa lettre touche l'écrivaine, et deux cartes
postales sont échangées.
Cependant, le rendez-vous espéré n'aura jamais lieu.
Des années plus tard, Marie Tséroff est hantée par
l'idée d'inventer la réponse de Monique, l'épouse du
protagoniste d'Alexis - une réponse d'une femme à la fois
solitaire et énigmatique - que Marguerite Yourcenar avait
délibérément choisi de ne pas révéler.
Voici cette réponse
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Nicole A.
C'est la lettre d'un personnage féminin (écrite par une
femme, qui plus est), et ses émotions sont touchantes.
À la question "est-ce que le texte peut se lire et se
comprendre sans avoir lu la lettre source ?", la réponse
est : oui, sans hésitation.
Il a tout son sens, on pourrait même imaginer que la
lettre première n'existe pas vraiment, mais uniquement au
travers des allusions faites dans la réponse.
Je souhaite une longue vie à ce texte.
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Stéphane B.
C’est superbement écrit, un niveau de langue soutenu, qui
rappelle les auteurs du XVIIIe (qui seraient passés par la
psychanalyse et le MLF) : on y revisite la condition des
femmes dans la seconde moitié du XXe siècle, et les
bouleversements qui ont eu lieu.
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Myriam M.
J'achève la lecture, d'une traite, de ce texte.Vous avez
su dire les éclats coupants que la rupture et l'abandon
ont inscrits en moi, que le temps a polis depuis vingt
ans, sans les dissoudre toutefois.
Je pense que mille et mille femmes se reconnaitront,
avec gratitude, dans cet autoportrait fictionnel et
vrai, grave et subtil, porté par une langue aussi
retenue que précise, si vibrante pourtant !
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